Titre Trier par ordre décroissant Auteur Date Résumé
Acquisition et enseignement en production écrite ANDERSEN Hanne Leth, AURIAC-SLUSARCZYK Emmanuèle, BIRKELUND Merete, LEBLAY Christophe 2010

Ce numéro spécial de la revue Synergie présente le corpus Grenouille. Sont exposées les intentions initiales de recueil, puis proposées plusieurs lectures du corpus: genèse de texte, étude syntaxique, psychologie cognitive, didactique, sciences de l'éducation. Comment juger de la qualité d'un texte produit par des élèves et s'appuyer sur les bons indicateurs ?

Ecriture et réécritures chez les élèves AURIAC-SLUSARCZYK Emmanuèle, GUNNARSON-LARGY Cecilia 2013

Le livre présente, sur la base du corpus Grenouille, une vision du développement de l'apprentissage de la production écrite chez les élèves du CE2 (8 ans) à la 4e collège (14 ans). Les copies d'élèves (récit littéraire et compte rendu scientifique) sont commentées par plusieurs chercheurs.

L'atelier philo comme communication scolaire d'un genre nouveau AURIAC-SLUSARCZYK Emmanuèle, CLAQUIN Françoise, LE TELLIER Anais, LEFIEVRE Valérie, PERRODEAU Sandrine, TOUZEAU Agnès 2013

Les parcours différentiels des enseignantes ayant pris en charge des ateliers philo dans leur classe (CP, CE1-CE2 et CM2), les compétences des élèves à manier la langue (emploi des connecteurs) en fonction de leurs statuts (niveau scolaires, niveau de langue) sont examinés. L'implication de l'adulte animateur et des élèves discutant est caractérisée.

Les ateliers de Philosophie. Une pensée collective en acte. AURIAC-SLUSARCZYK Emmanuèle, COLLETTA Jean Marc 2015

Le présent ouvrage présente, après une quinzaine d’années de tentatives couronnées de succès dans plusieurs classes en France, les paroles d’élèves enregistrées au sein de ces ateliers philosophiques. Le corpus scientifiquement récolté à l’occasion de ces pratiques ordinaires interroge l’école sur sa capacité à déployer les ateliers philosophiques.

Les enfants et la philosophie AGOSTINI Marie 2013

La philosophie, une affaire de grandes personnes ? Certainement pas. À partir de ses expériences dans des classes de primaire, Marie Agostini montre combien les enfants peuvent non seulement s’ouvrir à la philosophie, mais surtout devenir philosophes eux-mêmes et modifier en conséquence leur vision sur le monde.

Paroles de philosophes en herbe: Regards croisés de chercheurs sur une discussion sur la justice en CM2. SIMON Jean Pascal, TOZZI Michel 2017

Cet ouvrage est le fruit d'un dialogue entamé par une vingtaine de chercheurs d'horizons géographiques différents (Belgique, Canada, France et Suisse) et de domaines de recherche variés. Il ventile les regards croisés de philosophes, linguistes, didacticiens, psychologues, ergonomes sur une discussion à visée philosophique : ''pourquoi on dit : c'est pas juste'' animée par Michel Tozzi.

Philosopher avec les enfants. Fabrique de l'apprendre, fabrique du savoir COLLETTA Jean Marc, FOURNAL Anda, LAGRANGE-LANASPRE Sandra, SIMON Jean Pascal 2020

L'Education Nationale a recommandé la pratique d'ateliers philosophiques. Toutefois, les chercheurs mettent en garde sur les dangers de l'idée que philosopher en classe irait de soi. Il existe des chausse-trappes dans le raisonnement humain. Il faut donc se former, car cette pratique bouscule les rapports entre savoir et pouvoir au sein de la classe. Il faut en être prévenu, et comprendre la forme même des séances à pratiquer.

 https://www.lcdpu.fr/livre/?GCOI=27000100131520&fa=details

Quand les enfants philosophent AURIAC-SLUSARCZYK Emmanuèle, BLASCO Mylène 2013

Ce numéro présente le travail pluridisciplinaire réalisé par des chercheurs en sciences du langage, en psychologie et en sciences de l’éducation sur la base d’un corpus commun. Le corpus Philosophèmes, basé sur le recueil et la transcription de discussions à visée philosophique tenues dans des classes de l’école primaire et du collège, est étudié par chaque spécialiste. L’étude des paroles comme – « moi je dirais que quand tu meurs tu as déjà utilisé ta vie, donc c’est à peu près comme une pile quoi » – montre que celles-ci ne reposent pas sur le hasard chez de jeunes élèves. Est démontré que le lien entre l’enfance et la philosophie, cher à Montaigne, n’est pas une vue de l’esprit, mais une réalité en classe.